A closer look at the pornography of existence

Monday, February 20, 2006

Avez-vous déjà bu du café qui sent le chien mouillé ?

Moi ci. Ce matin même, d'ailleurs. J'ai l'habitude de me faire un café dès le réveil, quand le temps me le permet, et je le verse dans cette immense tasse artisanale qui contient l'équivalent d'une charge de dynamite dans mes neuronnes - d'autant plus que je n'y vais pas de main morte sur la poudre.

Depuis que Caron m'a appris qu'il fallait mieux manger ou boire un petit quelque chose avant de se pitcher sur le café, j'essaie de boire un peu de limonade ou de manger un yaourt et j'y parviens habituellement.

Mais... du café qui sent le chien mouillé ? That's a first. La semaine commence bien !

*

Je souffre probablement d'une maladie inconnue. Quand je suis étendu dans mon lit - comme Étienne Daho, par exemple - je ne peux plus me réveiller, rien à faire. Enfin, je peux me réveiller, mais très difficilement en sortir, ce qui fait que je me rendors assez rapidement.

Et ça serait probablement comme ça tous les matins si je dormais seul.

Disons que ça mine particulièrement ma productivité, car normalement je suis une étincelle ambulante, le matin. Ça pétarade dans mon cerveau et si je me fixe des buts, je les atteins généralement d'assez bonne heure. Que ça soit une tâche physique ou intellectuelle, j'arrive à bout sans problème.

Mais bon, peut-être que je suis tout simplement fatigué.

*

Miss Bijoux est à Las Vegas pour la semaine. Elle est partie vendre des montres en sol américain et prendre un peu de soleil, ce qui est légèrement impossible pour nous en ce moment avec cet hiver fort désagréable.

Ville de gamblers, ville d'architecture tape-à-l'oeil, Vegas est l'endroit de perdition par excellence. Une ville plutôt anormale qui est toujours théâtre de quelques drames, et qui propose une certaine dimension surréaliste. Que ça soit dépeinte au cinéma (dans LEAVING LAS VEGAS, elle est le paradis des alcoolos, alors que dans le plus rare THEY CAME TO ROB LAS VEGAS, d'Antonio Isasi, elle devient le paradis des cambrioleurs) ou dans un jeu vidéo (Grand Theft Auto : San Andreas la propose comme une ville peuplée de cowboys et de pitounes typiques) elle inspire toujours le délire.

J'espère que Miss me ramènera de jolies photos et qu'elle n'enregistrera pas trop de pertes au casino de son hôtel !

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